lundi 30 juillet 2012

Manœuvre à bord du croiseur Hamidiye de la marine impériale ottomane

Manœuvre à bord du croiseur Hamidiye de la marine impériale ottomane. Coll agence Adhémar

Le croiseur Hamidiye a été mis en service le 25 septembre 1903. Il s'est illustré dans les guerres balkaniques et dans la Première Guerre mondiale. Il a été remis aux Britanniques après le conflit au titre des dommages de guerre. Il a été rendu à la marine turque en 1925. Il fut navire-école de 1940 à 1947 puis réformé.

Manœuvre à bord du croiseur Hamidiye de la marine impériale ottomane

Manœuvre à bord du croiseur Hamidiye de la marine impériale ottomane. Coll agence Adhémar

Le croiseur Hamidiye a été mis en service le 25 septembre 1903. Il s'est illustré dans les guerres balkaniques et dans la Première Guerre mondiale. Il a été remis aux Britanniques après le conflit au titre des dommages de guerre. Il a été rendu à la marine turque en 1925. Il fut navire-école de 1940 à 1947 puis réformé.

mercredi 25 juillet 2012

5 août 1914, embarquement des réservistes français de New York sur La Lorraine

Le 5 août 1914, quatre jours après l'ordre de mobilisation, les réservistes français vivants aux Etats-Unis (de la classe 1887 à la classe 1910) s'embarquent sur La Lorraine. La photothèque de la Librairie du Congrès américain en a gardé la trace.










Le capitaine Maurras.



5 août 1914, embarquement des réservistes français de New York sur La Lorraine

Le 5 août 1914, quatre jours après l'ordre de mobilisation, les réservistes français vivants aux Etats-Unis (de la classe 1887 à la classe 1910) s'embarquent sur La Lorraine. La photothèque de la Librairie du Congrès américain en a gardé la trace.










Le capitaine Maurras.



mardi 24 juillet 2012

Le train en gare maritime de Cherbourg au début du XXe siècle

Le train en gare maritime de Cherbourg avant la Première Guerre mondiale.
Au début du XXe siècle, la gare de Cherbourg a accueilli des trains internationaux et des trains de luxe pour que les voyageurs puissent prendre les paquebots de la compagnie de la Cunard Line pour les États-Unis et le Royaume-Uni. Une gare maritime fut construite Quai de l'Ancien Arsenal (aujourd'hui Quai Joseph Lawton Collins) en 1912, à la place d'une plus ancienne en bois. La nouvelle gare maritime était composée d'une salle de restaurant et d'une salle des pas perdus. La gare maritime étant située dans l'avant-port, les paquebots ne peuvent accoster et on utilise des transbordeurs, ce qui occasionne une grande perte de temps. À ce titre, le port de Cherbourg accueillit le 10 avril 1912, en début de soirée le Titanic, qui mouilla dans la rade. 24 passagers quittent le navire alors que 274 autres montent à bord grâce aux transbordeurs Nomadic et Traffic appartenant tous deux à la White Star Line.
Les projets d'agrandissement maritime de la gare furent écartés, les élus locaux préférant construire une nouvelle gare spacieuse et luxueuse sur le port pour faciliter le transit des voyageurs mais également pour les attirer.
Il est décidé que la nouvelle gare maritime serait construite en face du casino, à la place de sa plage où serait construit un nouveau quai pouvant accueillir les infrastructures. Le premier projet datant de 1924 et élaboré par Chalos et René Levavasseur fut refusé car jugé beaucoup trop somptueux. Le deuxième projet, considérablement simplifié par rapport au premier, reprenait les grandes lignes du premier projet avec une Halle des trains, un grand bâtiment abritant la gare maritime, l'ensemble dominé par un élégant campanile.
L'ancienne gare maritime est le plus grand monument français d'Art déco des années 1930. À partir de 1928, la gare de Cherbourg-Transatlantique a été construite par l'architecte René Levavasseur sur le port de Cherbourg en collaboration avec les ingénieurs Chalos et Fleury, en béton armé, briques claires et pierres de béton imitant le granit.
L'ensemble était composé du hall des trains de 240 mètres et du bâtiment principal de la gare maritime à l'intérieur duquel se trouvaient une gigantesque salle des pas perdus bordée par les bureaux des compagnies et de nombreuses boutiques, une salle de douanes et le grand salon. Ce bâtiment, le plus grand de l'ensemble architectural était surmonté d'un campanile de 70 mètres qui fut dynamité par les Allemands en 1944. La galerie couverte d'embarquement, mesurant près de cinq cents mètres, s'étendait sur toute la longueur du Quai de France qui fut construit pour la construction de la future gare maritime. L'accès aux paquebots à partir de la galerie couverte se faisait grâce à neuf passerelles métalliques se déplaçant sur des rails. Plusieurs grues mobiles permettaient de débarquer ou embarquer le courrier ainsi que les marchandises. Quatre trains et deux paquebots pouvaient être accueillis simultanément. 

Plus d'infos sur ce blog.

Le train en gare maritime de Cherbourg au début du XXe siècle

Le train en gare maritime de Cherbourg avant la Première Guerre mondiale.
Au début du XXe siècle, la gare de Cherbourg a accueilli des trains internationaux et des trains de luxe pour que les voyageurs puissent prendre les paquebots de la compagnie de la Cunard Line pour les États-Unis et le Royaume-Uni. Une gare maritime fut construite Quai de l'Ancien Arsenal (aujourd'hui Quai Joseph Lawton Collins) en 1912, à la place d'une plus ancienne en bois. La nouvelle gare maritime était composée d'une salle de restaurant et d'une salle des pas perdus. La gare maritime étant située dans l'avant-port, les paquebots ne peuvent accoster et on utilise des transbordeurs, ce qui occasionne une grande perte de temps. À ce titre, le port de Cherbourg accueillit le 10 avril 1912, en début de soirée le Titanic, qui mouilla dans la rade. 24 passagers quittent le navire alors que 274 autres montent à bord grâce aux transbordeurs Nomadic et Traffic appartenant tous deux à la White Star Line.
Les projets d'agrandissement maritime de la gare furent écartés, les élus locaux préférant construire une nouvelle gare spacieuse et luxueuse sur le port pour faciliter le transit des voyageurs mais également pour les attirer.
Il est décidé que la nouvelle gare maritime serait construite en face du casino, à la place de sa plage où serait construit un nouveau quai pouvant accueillir les infrastructures. Le premier projet datant de 1924 et élaboré par Chalos et René Levavasseur fut refusé car jugé beaucoup trop somptueux. Le deuxième projet, considérablement simplifié par rapport au premier, reprenait les grandes lignes du premier projet avec une Halle des trains, un grand bâtiment abritant la gare maritime, l'ensemble dominé par un élégant campanile.
L'ancienne gare maritime est le plus grand monument français d'Art déco des années 1930. À partir de 1928, la gare de Cherbourg-Transatlantique a été construite par l'architecte René Levavasseur sur le port de Cherbourg en collaboration avec les ingénieurs Chalos et Fleury, en béton armé, briques claires et pierres de béton imitant le granit.
L'ensemble était composé du hall des trains de 240 mètres et du bâtiment principal de la gare maritime à l'intérieur duquel se trouvaient une gigantesque salle des pas perdus bordée par les bureaux des compagnies et de nombreuses boutiques, une salle de douanes et le grand salon. Ce bâtiment, le plus grand de l'ensemble architectural était surmonté d'un campanile de 70 mètres qui fut dynamité par les Allemands en 1944. La galerie couverte d'embarquement, mesurant près de cinq cents mètres, s'étendait sur toute la longueur du Quai de France qui fut construit pour la construction de la future gare maritime. L'accès aux paquebots à partir de la galerie couverte se faisait grâce à neuf passerelles métalliques se déplaçant sur des rails. Plusieurs grues mobiles permettaient de débarquer ou embarquer le courrier ainsi que les marchandises. Quatre trains et deux paquebots pouvaient être accueillis simultanément. 

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lundi 23 juillet 2012

Le S.S. Minnehaha de l’Atlantic Transport Line

S.S. Minnehaha est un transatlantique de 13443 tonnes construit par Harland and Wolff et lancé le 31 mars 1900. Il appartenait à l’Atlantic Transport Line et avait les SS Minneapolis, SS Minnetonka et SS Minnewaska comme sister-ships. Il est appelé ainsi d’après l’héroïne indienne du poème d’Henry Wadsworth Longfellow, The Song of Hiawatha (1855). 

S.S. Minnehaha faisant du charbon dans les années 1910. (coll Library of congress)
S.S. Minnehaha au départ de New York dans les années 1910. (coll Library of congress)
Dans sa première année de service, le 18 septembre 1900, Minnehaha coule le Downer X de la Ow's Towing Line dans le port de New York Harbor. L’accident fera deux victimes sur le remorqueur. Le 18 avril 1910, le liner heurte les rochers de Bryher dans les îles de Scilly, au large de la Cornouailles, sur la route de Londres à New York. Le Minnehaha y restera jusqu’au 13 mai quand deux remorqueurs le tirent de ce mauvais pas. Il n’y eut pas de victimes et le bétail transporté rejoignit à la nage les pâtures de l’ile de Samson, dans l’archipel.
Le 7 september 1917, le Minnehaha coule quatre minutes après avoir été torpillé par l’U-boat U-48. Il y aura 43 victimes. Ses sister-ships Minneapolis et Minnetonka s’échouèrent alors qu’ils servaient de transport de troupe pendant la Première Guerre mondiale.

Le S.S. Minnehaha de l’Atlantic Transport Line

S.S. Minnehaha est un transatlantique de 13443 tonnes construit par Harland and Wolff et lancé le 31 mars 1900. Il appartenait à l’Atlantic Transport Line et avait les SS Minneapolis, SS Minnetonka et SS Minnewaska comme sister-ships. Il est appelé ainsi d’après l’héroïne indienne du poème d’Henry Wadsworth Longfellow, The Song of Hiawatha (1855). 

S.S. Minnehaha faisant du charbon dans les années 1910. (coll Library of congress)
S.S. Minnehaha au départ de New York dans les années 1910. (coll Library of congress)
Dans sa première année de service, le 18 septembre 1900, Minnehaha coule le Downer X de la Ow's Towing Line dans le port de New York Harbor. L’accident fera deux victimes sur le remorqueur. Le 18 avril 1910, le liner heurte les rochers de Bryher dans les îles de Scilly, au large de la Cornouailles, sur la route de Londres à New York. Le Minnehaha y restera jusqu’au 13 mai quand deux remorqueurs le tirent de ce mauvais pas. Il n’y eut pas de victimes et le bétail transporté rejoignit à la nage les pâtures de l’ile de Samson, dans l’archipel.
Le 7 september 1917, le Minnehaha coule quatre minutes après avoir été torpillé par l’U-boat U-48. Il y aura 43 victimes. Ses sister-ships Minneapolis et Minnetonka s’échouèrent alors qu’ils servaient de transport de troupe pendant la Première Guerre mondiale.

vendredi 20 juillet 2012

M.V. Nivanga dans le Pacifique

Il en est des navires comme des hommes, certains ne sont réputés qu'à un niveau régional. Ainsi le M.V. Nivanga, totalement méconnu ailleurs, a acquis une célébrité suffisante autour de la Nouvelle Zélande (Salomons, Fidji…) pour que le Tuvalu lui consacre un timbre-poste.


Le M.V. Nivanga a été construit en 1961 aux chantiers Wang Poh de Hong Kong. Il s'agit d'un navire-école destiné au gouvernement de Gilbert and Ellice Islands (devenues Salomon et Tuvalu). Il est ensuite vendu à la compagnie Consort Shipping des îles Fidji en 1989 pour le service des Yasayasa Moala et du groupe Lau. 



En 1994, il passe entre les mains de la compagnie néo-zélandaise Great Barrier Shipping qui l'utilise comme ferry entre Auckland et la Great Barrier Island deux fois par semaine. 363 tonnes, long de 40,54 m, il transporte 161 passagers + 4 membres d'équipage. Il est équipé de 2 diésels Gardiner 8 cylindres de 284 kW chacun. Ce service a cessé au début du siècle.


M.V. Nivanga dans le Pacifique

Il en est des navires comme des hommes, certains ne sont réputés qu'à un niveau régional. Ainsi le M.V. Nivanga, totalement méconnu ailleurs, a acquis une célébrité suffisante autour de la Nouvelle Zélande (Salomons, Fidji…) pour que le Tuvalu lui consacre un timbre-poste.


Le M.V. Nivanga a été construit en 1961 aux chantiers Wang Poh de Hong Kong. Il s'agit d'un navire-école destiné au gouvernement de Gilbert and Ellice Islands (devenues Salomon et Tuvalu). Il est ensuite vendu à la compagnie Consort Shipping des îles Fidji en 1989 pour le service des Yasayasa Moala et du groupe Lau. 



En 1994, il passe entre les mains de la compagnie néo-zélandaise Great Barrier Shipping qui l'utilise comme ferry entre Auckland et la Great Barrier Island deux fois par semaine. 363 tonnes, long de 40,54 m, il transporte 161 passagers + 4 membres d'équipage. Il est équipé de 2 diésels Gardiner 8 cylindres de 284 kW chacun. Ce service a cessé au début du siècle.


Quelques commandes et livraisons récentes

Garde-côtes
Les chantiers Damen sont connus pour avoir livré de nombreux patrouilleurs à plusieurs marines. La marine albanaise s'est récemment tourné vers cette société pour renouveler sa flotte. Ainsi quatre bâtiments du type Stan Patrol devaient être construits par Damen. Le premier, baptisé Illyria, le fut aux Pays-Bas et rejoint la garde-côte albanaise en août 2008. Les bateaux suivants seront construits par le chantier Pashaliman Shipyard de Vlorë (Albanie). Il en est ainsi de Oriku, récemment mis en service et de Lisus, en cours de construction. Le principe consiste à assembler en Albanie des éléments préfabriqués par Damen aux Pays Bas. 



Navires scientifiques
Son apparence extérieure lui ouvrirait les portes des yacht-clubs les plus huppés. Mais c'est d'un navire destiné aux travaux scientifiques que le chantier français Piriou a reçu la commande au cours du deuxième trimestre 2012. Voir plus de détails sur Mer & Marine.com.



Brise-glace russe
Le prochain brise-glace nucléaire russe (le premier du type LK 60) sera long de 173 mètres et large de 34 mètres. Son déplacement sera d'environ 33 500 tonnes... C'est ce qui ressort de l'appel d'offre publié par Rosatomflot pour la construction du bâtiment. Des dates ont également été précisées : début de la construction en 2013, lancement en novembre 2015, essais en mer en août 2017, livraison au plus tard le 30 décembre 2017. Tout cela pour un prix maximum de US$ 1,1 milliard. Le résultat de cet appel d'offre devrait être connu le 3 août 2012. Les rendez-vous sont pris...

Sauvetage
La Société de sauvetage de La Belotte-Bellerive (l'une des 34 sections de sauvetage - 26 suisses et 8 françaises - composant la Société Internationale de Sauvetage du lac Léman) vient de prendre livraison d'une vedette construite en Normandie par le chantier AASM . Elle est équipée d'une motopompe pour lutter contre les incendies, d'un équipement de détection thermique pour la recherche de naufragés ; son équipage se compose de quatre sauveteurs.

Photo Ouest-France

mercredi 18 juillet 2012

Il y a 405 ans, était lancé le premier bateau américain

En 1957, pour le 350e anniversaire de la construction du Virginia of Sagadahock, la Poste étatsunienne a émis un timbre de 3 cents, ci-dessus, sur l'enveloppe premier jour. (Coll agence Adhémar.)
En 1607, c'est dans la colonie de Popham (du nom de son fondateur), appartenant à la Plymouth Cy, située dans le Maine actuel, qu'a été lancé Virginia de Sagadahock, premier bateau construit par les Britanniques en Amérique. Si la colonie, la seconde de Nouvelle Angleterre, ne dura pas plus d'un an, la petite pinasse* effectua la traversée de l'Atlantique avec succès, participant en 1609 au convoi de Sir Christopher Newport vers Jamestown (devenu son port d'attache), composé de neuf navires chargés d'approvisionner pour la troisième fois la nouvelle colonie. Au cours de cette mission, le Virginia de Sagadahock résista à l'ouragan de trois jours qui coula l'imposant Sea Venture, navire-amiral de Sir Newport. 
*La pinasse est petit bâtiment à poupe carrée long, étroit et léger utilisé au XVIIe et au XVIIIe siècle dans la marine de commerce et de guerre. La pinasse peut porter des canons, être utilisée pour des missions de reconnaissance ou débarquer des troupes. Son nom vient de ce qu'on a bâti les premiers avec du bois de pin.
Virginia of Sagadahock, pinasse de trente tonnes et 17 mètres. Maître-bau de 4,7 mètres.  Tirant d'eau de 2 mètres. Bateau à usages multiples, elle pouvait être gréée en fonction des tâches. Notez que sur le dessin de l'enveloppe, elle porte deux mâts. 

Il y a 405 ans, était lancé le premier bateau américain

En 1957, pour le 350e anniversaire de la construction du Virginia of Sagadahock, la Poste étatsunienne a émis un timbre de 3 cents, ci-dessus, sur l'enveloppe premier jour. (Coll agence Adhémar.)
En 1607, c'est dans la colonie de Popham (du nom de son fondateur), appartenant à la Plymouth Cy, située dans le Maine actuel, qu'a été lancé Virginia de Sagadahock, premier bateau construit par les Britanniques en Amérique. Si la colonie, la seconde de Nouvelle Angleterre, ne dura pas plus d'un an, la petite pinasse* effectua la traversée de l'Atlantique avec succès, participant en 1609 au convoi de Sir Christopher Newport vers Jamestown (devenu son port d'attache), composé de neuf navires chargés d'approvisionner pour la troisième fois la nouvelle colonie. Au cours de cette mission, le Virginia de Sagadahock résista à l'ouragan de trois jours qui coula l'imposant Sea Venture, navire-amiral de Sir Newport. 
*La pinasse est petit bâtiment à poupe carrée long, étroit et léger utilisé au XVIIe et au XVIIIe siècle dans la marine de commerce et de guerre. La pinasse peut porter des canons, être utilisée pour des missions de reconnaissance ou débarquer des troupes. Son nom vient de ce qu'on a bâti les premiers avec du bois de pin.
Virginia of Sagadahock, pinasse de trente tonnes et 17 mètres. Maître-bau de 4,7 mètres.  Tirant d'eau de 2 mètres. Bateau à usages multiples, elle pouvait être gréée en fonction des tâches. Notez que sur le dessin de l'enveloppe, elle porte deux mâts. 

mardi 17 juillet 2012

Le 11 juillet 1405, la flotte des Trésors largue les amarres

Le 11 juillet 1405, la flotte des Trésors largue les amarres pour un long périple dans les mers du Sud (l'océan Indien).
C'est la première des sept grandes missions d'exploration conduites par Zheng He pour le compte de l'empereur chinois Zhu Di (Yong-lo) et de son deuxième successeur.
Ces missions précèdent de quelques décennies les grandes expéditions maritimes des Européens (Bartolomeu Dias, Christophe Colomb...). Elles ouvrent des perspectives d'expansion inouïes à la Chine des empereurs Ming, perspectives que les fonctionnaires confucéens auront tôt fait d'interrompre... (pour en savoir plus, voir le blog de l'Agence Adhemar et  hérodote.com)


Selon les chroniques, le vaisseau amiral, le plus grand de tous, aurait 140 mètres de long et 58 de large, avec 12 mâts et une jauge de 1500 tonneaux...

Le 11 juillet 1405, la flotte des Trésors largue les amarres

Le 11 juillet 1405, la flotte des Trésors largue les amarres pour un long périple dans les mers du Sud (l'océan Indien).
C'est la première des sept grandes missions d'exploration conduites par Zheng He pour le compte de l'empereur chinois Zhu Di (Yong-lo) et de son deuxième successeur.
Ces missions précèdent de quelques décennies les grandes expéditions maritimes des Européens (Bartolomeu Dias, Christophe Colomb...). Elles ouvrent des perspectives d'expansion inouïes à la Chine des empereurs Ming, perspectives que les fonctionnaires confucéens auront tôt fait d'interrompre... (pour en savoir plus, voir le blog de l'Agence Adhemar et  hérodote.com)


Selon les chroniques, le vaisseau amiral, le plus grand de tous, aurait 140 mètres de long et 58 de large, avec 12 mâts et une jauge de 1500 tonneaux...

lundi 16 juillet 2012

Le numéro 82 de La Lettre des paquebots de l'Amap (Association méditerranéenne des amis des paquebots) vient de paraître.


Le numéro 82 (2e trimestre 2012) de La Lettre des paquebots de l'Amap (Association méditerranéenne des amis des paquebots) vient de sortir. Renseignements auprès du cdt Jean-Claude GAZANO Courrier électronique: jeansim.gazano@wanadoo.fr

Au sommaire
La Vie de l'Amap p. 2  Nouvelles Brèves p. 5   


Incidents / Accidents p. 10  



Des Ronds dans l'Eau p. 12  

De Nos Correspondants p. 13 

L'Après-Titanic p. 18  




L’affaire du Georges Philippar p. 29 



Maquettes p. 32 - Language de Marins p. 33


Technique : Les Ondes Radio p. 34  


Visite du Navire sur lequel l'Amap a fêté ses vingt-cinq ans d'existence : l'Horizon p. 41




 Bibliographie p. 47 - Mots Croisières p. 48